Un cambriolage est un événement pénible qui peut être traumatisant pour toute la famille, à commencer par les enfants. Lorsque les faits se sont produits en leur absence, il peut être tentant de leur cacher ce qui s’est passé. Pourtant, ce n’est pas forcément une bonne idée ! Alors, comment réagir face à ses enfants ? Verbaliser l’événement et sécuriser la maison en faisant appel à un serrurier à Blagnac ou près de chez vous : voici quelques conseils pour gérer la situation.

Le cambriolage : un événement traumatisant

Même si un cambriolage se déroule en notre absence, le fait que des étrangers plus ou moins malveillants se soient introduits dans le domicile familial peut causer un traumatisme pour les grands comme pour les petits. Or, il ne faut pas négliger l’imaginaire développé des enfants : ils peuvent donc en arriver rapidement à amplifier l’événement de façon dramatique. Faut-il leur cacher ce qui est arrivé pour autant ? Pas sûr ! Car les enfants vont rapidement prendre la mesure de votre stress. Face à un tabou, ils ignorent tout des faits et leur imagination peut vite s’enflammer. Dans un premier temps, il est donc important d’évoquer le cambriolage avec des mots simples. Il ne s’agit pas seulement d’expliquer : il est important que les enfants puissent verbaliser l’événement, leur ressenti et leurs craintes. L’intrusion d’un étranger dans le cocon qui leur est familier est anxiogène. Il est donc aussi capital de les rassurer, en les informant par exemple que vous allez faire appel à un serrurier près de chez vous ou près de chez vous.

Le cambriolage : et après ?

Après avoir fait appel à un serrurier, n’hésitez pas à montrer le résultat de son intervention aux enfants. Ils seront rassurés de voir que la sécurité du domicile a été renforcée. Au cours de la période suivant le cambriolage, prêtez attention au comportement des enfants. Ils peuvent avoir une réticence au moment d’aller se coucher et du mal à trouver le sommeil. Si tel est le cas, il est important que vous adoptiez une attitude rassurante, mais ferme : évitez par exemple de retarder l’heure du coucher ou de faire dormir les enfants avec vous. Au contraire, efforcez-vous de ne pas interrompre les habitudes familiales. Cela contribue à dédramatiser l’événement, et à montrer aux enfants qu’en dépit d’un aléa désagréable, la vie continue.

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